On va chanter ces damnées femmes |
Et leur absence de cerveau |
On va chanter toutes les dames |
Qui toutes se pâment |
En louant leur peau. |
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On prétend qu'elles n'ont pas d'âme |
Ce qui est leur moindre défaut |
Puisqu'elles vous entament |
A grand coups de lame |
Votre coeur tout chaud. |
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On jouit de tout |
Lorsque l'on est célibataire |
On devient fou |
Une fois parti pour Cythère... |
La seule attente qui surnage |
A bord de ce ce fichu radeau |
C'est celle d'un petit naufrage |
Afin dans le veuvage |
D'avoir un peu de repos |
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Célibat, célibat... |
Sous ton règne qui chante, |
Le temps paraît trop court |
Pour goûter au bonheur |
De chaque jour |
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Célibat, célibat... |
Les femmes sont chiantes |
Et le seront toujours |
N'ayant jamais de coeur |
Ou bien d'amour |
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S'attacher à une femme |
Dans les maudits liens conjugaux |
Ca finit toujours par un drame |
Elle en connaît la trame |
Et le degueulando |
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Dès le début elle t'agace |
En t'abreuvant de ses ragots |
Puis ensuite elle te harasse |
T'impose sa masse |
Et ce qu'elle a de faux... |
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On jouit de tout |
Lorsque l'on est célibataire |
On devient fou |
Une fois parti pour Cythère... |
Si vous avez un jour la veine |
D'être allégé d'un tel fardeau |
Allez fêter ça sur la Seine |
N'ayez aucune peine |
Dansez sur le tombeau |
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Célibat Célibat Céliiiiiiiiiiibat! |